La comparaison du budget de l’État avec celui des ménages est un exemple parmi d’autres de ces grossières manipulations qui ponctuent le discours « officiel » sur la dette.
De sommets européens « exceptionnels » en plans d’austérité « urgents », la dette publique est devenue cet épouvantail, destiné à effrayer l’opinion publique et promouvoir des politiques régressives, en court-circuitant le débat démocratique. Les dépenses publiques, la protection sociale, les services publics, font ainsi l’objet d’attaques incessantes, alors que le problème est ailleurs.
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